Un salon douillet, une ou deux lampes douces diffusant une lumière tamisée qui plongeait la pièce d'une douce intimité ...Sa voix, pourtant très sure, était très basse ...Elle,elle ne parlait pas ...Elle se laissait envelopper par cette ambiance feutrée ...elle y avait si souvent pensé ... L'Homme, appuyé dans le coin du canapé, vêtu légèrement, semblait serein ..Elle le souhaitait ainsi ...Elle se sentait pleine de tendresse en le regardant et pourtant, tout son s a n g bouillonnait ...De cet homme venait toutes ses envies, tous ses désirs ...Elle se sentait bien. Bien dans ce qu'elle portait, bien sans son rôle, bien face à cet Homme, pour qui elle voulait le meilleur.

Approchant une table basse à portée de ses mains, elle y déposa ce qu'il aimait, et se mit à genoux pour lui servir sa boisson préférée ...Comme un voile, de sa main, elle frôla son sexe sous le tissu léger, au moment même où elle entre -ouvrit sa bouche, déjà humide d'envie, laissant courir sa langue sur ses lèvres ... Trempant son doigt dans son verre, il vint à la rencontre de cette langue qu'il connaissait bien ...Elle le laissa caresser ses lèvres, absorbant ce moment fait de sensations qui se divulguaient lentement dans son corps ...Puis, sa langue... Sa bouche aspira ce doigt dans une succion faite de tendresse et de f o r c e .

Comme pour lui communiquer cette v i o l ence qui se déchaînait en elle ...Pourtant, rien ne transparaissait ...Juste sa main, qui, à travers le tissu, continuait, comme une aile de Papillon, à virevolter, de la paume et du bouts des doigts sur son sexe, déjà demandeur, se retenant elle-même de cette envie de le saisir ....Demandeuse elle aussi, elle voulait pourtant que ces instants durent ...

Tout en sachant que le doigt de cet Homme allait bientôt quitter sa bouche pour une autre humidité ...Elle ferma les yeux, faufila doucement sa main sous le tissu léger ...Tout son corps se banda en même temps qu'elle sentait durcir sous sa main, cette verge qu'elle commençait à apprivoiser......Ses seins érigeaient indécemment leur pointe, son corps coulait le long de ses cuisses, son ventre pasmodiait une litanie lancinante, son cul se dilatait des mouvements imperceptibles de son bassin .....

A genoux, cuisses ouvertes, retenant sa respiration, elle attendait ......

Le doigt de l’Homme glissa lentement hors de sa bouche, sa langue le suivit pour le perdre ….En suspend, tout l’était …sa main sur Son sexe ne bougeait plus mais …Elle se sentait observée…indécente et coulante de cette attente.... Le contact fut v i o l ent, déchirant, coupant, une onde de choc puissante qui failli la déstabiliser…..elle ne bougeait pas, seul un gémissement glissa entre ses lèvres ouvertes, sur sa langue légèrement sortie …Sa tète projetée en arrière, semblait se détacher de son corps, ce corps raidi d’où s’écoulait cette abondance de désirs accumulés, de toutes ses envies qui sortaient de sa chatte pour s’éparpiller sur ses lèvres béantes, sur le haut de ses cuisses tremblantes, sur son bouton brûlant de fièvre ….. Qui, doucement s’infiltraient entre ses fesses, chaude coulée de miel cherchant à s’étaler sur son anus vibrant …l’envie de s’écarter, d’être prise de partout …..Non !

Elle se concentra sur sa main posée sur ce sexe bandé prêt à exploser, pour oublier cette jouissance qu’elle sentait monter en elle et qu’elle voulait à tout prix, retarder …Faire durer, faire durer ces moments d’intense fusion …..Il le sentit, voulant la pousser au maximum de sa retenue, Ses doigts se mirent à la fouiller lentement ….Son visage criait son envie …Sous sa main, Sa verge transpirait ses dernières résistances ….elle s’y accrocha tout en l’aidant à Jouir ….elle cria, au rythme de Ses saccades, sa jouissance ….fort, très fort ….son bras libre battait l’air …Son corps s’est cabré…tendu ….puis elle s’est tue ….IL ne disait rien , la regardait….toujours à genoux, cuisses écartées, vacillante …

Peu à peu, elle revenait à elle…..sa main n’avait pas quitté Son sexe ….Elle Le regarda dans les yeux, reconnaissante, puis se pencha vers sa main et cette verge apaisée…Sa langue vint le lécher, lécher encore et encore cette queue qui l’attendrissait tant, lécha sa propre main et tout ce lait échappé de ce sexe ….Elle le voulait en elle, qu’il coule dans son corps…..Elle aimait le sentir se relâcher, se détendre, l’entendre ronronner de cette douceur qu’elle lui prodiguait ….Elle aurait pu y passer des heures …..Elle voulait que toute sa tendresse se diffuse en lui …Elle le voulait heureux ….

Ses yeux étaient posés sur elle….elle porta une de ses mains à sa chatte et y recueillit un peu de sa liqueur, la mêla sur sa langue au lait de l’homme….Elle aurait voulu se fondre dans Son regard …..Elle pleura …..

Une larme coula sur son sein, une autre sur Son sexe encore entre ses mains …..

Le contact de sa larme la surprit, une brûlure, douce certes mais qui entraîna en elle un enchevêtrement de sensations qui se prolongeait de la pointe de ce sein à ses terminaisons les plus éloignées …Elle se pencha vers ses mains encore en prière autour de cette queue sur laquelle, pensait elle la même légère douleur s’était posée et, croyant cacher son trouble, lapa cette goutte salée étalée sur ce sexe encore raide du plaisir donné ….Le regard perçant de l’Homme l’avait traversée …D’un sourire amusé qu’elle ne put voir, IL lui demanda, de cette façon ferme et troublante qui était la Sienne, de lui présenter ses fesses sans pour autant le lâcher …Elle pivota sur elle-même,Lui tendit son cul, honteuse de se sentir de nouveau gluante de la tornade qui envahissait son ventre depuis cette onde de choc qu’avait provoquée sa larme …

Elle creusa les reins, accrochée à ce pieu bonheur qu’elle tenait toujours entre ses doigts tout en veillant à ne pas le blesser ….Une claque v i o l ente, stridente l’obligea à se creuser d’avantage …Il ne la claquait jamais pour rien, tout avait un sens, une approche d’un plaisir encore plus fort, elle le savait …En équilibre entre ses genoux au sol et ses mains sur sa tige, elle Lui projeta son cul le plus haut possible, à sa portée, à Son regard, à Sa convoitise et, aux vibrations ressenties entres ses mains, elle savait qu’elle avait réussi à être la plus obscène possible, la plus salope qui soit….

D’une nouvelle claque, elle comprit qu’elle devait Le lâcher, ce qu’elle fit rapidement non sans avoir déposer du bout de la langue un baiser mouillé sur Son gland, pour lui offrir une vue sans barrières de tous ses orifices…Pour cette impertinence, la claque suivante fut douloureuse mais combien tumultueuse dans son corps déjà bien embrasé, , une caresse de feu ! …

Une nouvelle chaleur l’envahit et un flot continue coulait entre ses cuisses …Elle aimait cet état qui la tenait à la merci de ce pouvoir qu’il avait sur elle ….Il plongea ses doigts en elle, recueillant une partie de ce miel épais qui se déversait de son corps en demande, remontant son sillon qu’elle tendait vers lui, animale en chaleur cherchant et réclamant la puissance de son Mâle Dominant ....Chienne elle était …Il se posa derrière elle lui empoignant les cheveux, porta à sa bouche Sa main, caressant ses lèvres de Ses doigts poissée, et comme elle le faisait avec Sa queue, elle suça avec bonheur et application, Ses doigts enfouis contre sa langue ….

Puis de Sa queue bien en main, IL lui caressa son cul, son bouton …Elle tremblait de cette attente, voulant lui crier « Venez ! Baisez-moi, Baisez-moi ! » Il n’eut aucun mal à s’enfoncer dans son étroite demeure, après un cheminement lent à lui tordre les entrailles d’impatience Il la combla d’un coup de rein vigoureux, l’empalant jusqu’à la garde, de Son chibre puissant …. Puis IL, ne bougea plus, se pencha pour lui murmurer à l'oreille , d'une voix qui la fit s'envoler « Maintenant Ma Salope, danse … Danse sur ma queue !"

Seul Son sexe en elle manifestait de la puissance …. Seul son sexe à elle, commençait à danser ! ....

Offrande de sa croupe, de son cul relevé, le dard de l’homme planté dans son intimité inondée, elle commence à danser sur ce pieu qui la transperce ….Elle démarre lentement comme une litanie qui allait monter crescendo …

Son cul imprime des mouvements circulaires à ce sexe enfoui en elle, avant d’aller et venir de mouvements à peine perceptibles, juste un agacement qui allait le mettre au supplice ….Elle est reptile ondulant sur sa proie, l’enserrant de ses envies internes presque jusqu’à l’étouffement puis le relâche pour en sentir toute la puissance …

Amenant doucement son cul à ses chairs, elle l'entraîne au plus profond de ses entrailles puis lentement le raccompagne sur la même musique à la porte de sa demeure, le sent si présent dans cette entrée humide, son gland occupant tout l’espace …Le laissant un court moment là, elle fait danser ses fesses, indécente de cette image projetée à ses yeux de mâle, danse impudique et lubrique d’un cul sur une queue docile et prise dans un fourreau brûlant, attendant sans savoir, la danse qui l'achèvera ….Le tempo change …

Un peu plus brusquement, elle happe cette queue qui ne résiste pas et s’introduit dans un bruit d’aspiration, jusqu'à ses couilles qui viennent heurter sa chatte, sensation intense pour l’un comme pour l’autre …Le rythme devint saccadé, la mélopée s’échappe de ses hanches, de son con qui l’engloutit …Tout son corps posé sur ses bras, elle volute une danse à la lune vers qui se tend son cul, emprisonnant ce sexe, dur comme un étendard en elle …Les mains de l’homme l'agrippent mais ne peuvent que suivre…Femelle elle devient, son corps suit …

Elle rythme, balance, cadence, tourne, imprime sa grotte à ce bâton qui l’envahit, le presse, le compresse mais toujours de ses mouvements qui le gonflent l’engorgent ….De cette danse son cul demande plus, sa chatte ne suffit plus …Elle le veut partout, énorme, présent …Bien plus présent.

Doucement, le rythme retombe …Elle le dorlote, le caresse de sa douceur intime ….L’homme grogne un peu puis doucement, se glisse hors d’elle "Maintenant sois, plus que jamais, Ma Salope !" Se creusant un peu plus, elle Tend son bras, le prend dans sa main et comme elle le ferait d’un pinceau, du bout de sa queue en dessine son œillet, orne ses couleurs , en fait le tour …

Elle écarte ses fesses, lui ouvre, lui offre à l'indécence, l'entrée de son cul ……

Se creusant un peu plus, elle tend son bras, le prend dans sa main et comme elle le ferait d’un pinceau, du bout de sa queue en dessine son œillet, orne ses couleurs, en fait le tour …dans ces moments là elle se sait maître d’œuvre de ses plaisirs, sans aucun droit à l’erreur

Comme pour le lui rappeler et la remettre à son rang de petite catin à son service, s’abat sur son cul une salve de claques sans concession pour la peau tendre de ses fesses …Surprise par la cadence régulière et appuyée de cette avalanche de tapes , un peu en déséquilibre entre son épaule et son bras qui la tiennent au sol, elle lâche son chibre mais comprend vite qu’elle doit le reprendre … Le rythme et la f o r c e des claques redoublent et lui coupent la respiration ….Dés que dans sa main sa queue a repris sa place, les mains de son Maître deviennent plus douces laissant la place au feu qui la ronge et qui a pris maintenant toute sa place en elle …Ses seins sont douloureux, leur téton, pleurent la caresse, son ventre en bataille déborde sur ses berges, son trop plein d’envies ….

« Cambre toi, ouvre moi ton chemin »

Après une caresse très douce sur le frein et le méat de la queue aimée, elle l’abandonne pour se consacrer à son cul. Les deux épaules maintenant au sol, elle glisse ses deux mains sur chacune de ses fesses pour les étirer à l’indécence de chaque coté de son anneau ….Elle se sent, elle se sait ouverte et, au plus profond d’elle, s’engouffre le regard de cet homme à qui elle donne tout !

Elle ne respire plus par sa bouche mais pas son cul, par sa chatte ainsi mis à nus !

Il la regarde un bon moment, savourant cette emprise qu’elle lui permet, qu’elle lui donne ainsi à genoux …Elle se veut transpercée, brutalisée dans sa plus tendre et secrète intimité …Elle veut être une proie à la pointe de son épée, elle ne veut être rien d’autre que Son Plaisir …L’orage qui se joue dans son regard ….Elle s’ouvre, s’ouvre encore ….Le pinceau est devenu glaive et sans rien d’autre que Ses mains qui l’empoignent, poupée de chiffons pourfendue par son Absolu, il la perfore, multiples frissons jusqu’au bout de ses terminaisons …Elle halète, cherche à remplir ses poumons vidés par la puissance de sa pénétration ….Pourtant, sa tête à elle est dans son cul, tout son corps y est concentré …. Elle enserre dans ses entrailles cet intrus si chéri, le presse, le dorlote, le borde de ses chairs à vif, le nourrit de la mouille qui l’a précédé ….Lui, il ne bouge plus, laissant sa pute le choyer …Il se sent étranglé mais ne cherche à s’en échapper, il en veut encore

Lentement, très lentement, de cette lenteur qui monte au cœur il sort d’elle, y repénetre, se repaît de ce spectacle que lui soumet sa queue avalée par Sa chienne en chaleur, de son petit cul en mouvement sur sa bite ….A chaque pénétration, son cul le happe, ses hanches dansent autour de son pieu…Il la veut salope …Elle est Sa salope !

Il lui réclame, le lui crie « Salope ! Salope ! Pute, tu es à moi »

Dans son étroit couloir occupé, tout devient trop petit, trop exiguë ….Sa queue est énorme, il va exploser …

Il s’accroche à ses cheveux, la cambre à la casser …Elle est son jouet, elle est sa jouissance, celle qu’il lui offre à ce moment là …Elle ressent ce raz de marée qui l’emporte v i o l emment, elle pense à ses yeux dans ces moments là ….Elle ne pense plus, elle n’est plus là ….Partie au pays de sa sève qui l’a envahie, elle glisse sur chaque goutte ne cherchant que l’oubli dans son Lui …

Quelques mots balbutiés à son oreille la ramène dans Son univers ….Son souffle à Lui est aussi court que le sien et son corps l’enveloppe de la réalité dans laquelle elle émerge, Sa réalité, leur réalité !

Elle se voudrait encore plus petite qu’elle ne l’est pour disparaître complètement sous Lui, s’y fondre, y faire son nid et ne plus en bouger …De sa stature imposante et tranquille elle voudrait faire son éternité mais son présent est bien là à ce moment là …Il la tient dans sa main et sa place est là, seulement là …A Son plaisir, à Ses désirs, à Ses joies, à Son regard lumineux comme un ciel d’été, à Son service, à Ses souhaits ….A Lui !

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